Nom :Barleybeard
Prénom :Bruuk
Race : Nain
Âge :199 ans (âge humain : 55 / 60 ans)
Lieu d'attache : Forgefer
Aspirations : Satisfaire ses clients, trouver un bon epoux pour sa fille.
Raison pour laquelle votre personnage est resté en Azeroth : Il est père, il n'a donc pas spécialement envie de risquer sa vie dans le nord. Il boîte, il est borgne. On ne brasse pas de la bière avec des ingrédients corrompu.
Classe : Guerrier
Grade :Expert
Profession :Tavernier
Quelques questions :
1)- Le quartier commerçant de Hurlevent est toujours en pleine effervescence. Si l'on avait besoin d'y retrouver votre personnage, y arriverait on facilement ?
Au millieu de la marée Humaine d'Hurlevent Bruuk est comme un rocher, un cap, que dis-je un cap? Une péninsule! Enfin... Même s'il a une petite taille, pour un nain. Bruuk est du genre inamovible, comme dit l'expression: « il est aussi large que long ». Même si il est petit, ça fait large. Les gens ne lui rentrent pas dedans, il lui rebondissent dessus. Ensuite, je veut dire une fois qu'ils se sont rendu compte que le rocher au milieu de la rue parle. Ils remarquent son visage antipathique couturé de cicatrices et son unique œil les fusillant. Horrifiés ils détournent le regard qui vient se poser sur Edris, la fille de Bruuk. Une jeune naine aux formes généreuses et au visage avenant. Un symbole de volupté.
En conclusion a Hurlevent on ne remarque pas facilement Bruuk en raison de taille comparer à celle des gens du cru. Mais ensuite on a du mal à l'oublier, lui ou sa fille.
2)- Alors que votre personnage se promène en ville, une elfe fort bien habillée se moque de sa tenue et de son allure. A-t-elle raison de le faire ? Comment réagit votre personnage ?
Bruuk a une jambe raide ce qui le fait boiter d'une manière plutôt cocasse. Ses habits sont bon marché, plus fonctionnels qu'élégants. Si une elfe osait se moquer de lui. Il lui ferait remarquer en termes imagés que chaque cicatrice qu'il porte est le souvenir d'une bataille ou il a perdu un compagnon. Qu'il est fier de porter chacune d'elle. Que sa jambe a aussi été blessée en service. Que pendant que madame l'elfe s'occupait à faire pousser son buisson. Lui, taillait à coup de hache la chair et l'ichor afin de permettre à son peuple puis aux peuples de l'Alliance toute entière afin de permettre aux planqués comme elle de vivre leurs petites vie de jardinier. Qu'a son passage ce n'est pas de la moquerie qu'il mérite mais du respect.
Sans doute ajouterait-il ensuite que si son postérieur elfique n'était pas perché sur des brindilles aussi ridiculement hautes il aurait fait la rencontre de sa botte.
Voilà comment il réagirait avec un soupçon de grossièreté et un zeste de grognement bourru en supplément.
3)- Votre personnage se réveille dans une auberge, un peu brumeux. Qu'a-t-il bien pu se passer la nuit dernière ?
Un reveil brumeux dans sa propre auberge pour Bruuk est sans doute synonyme d'une soirée passé à servir les montagnards de retour de patrouilles ou les gardes aillant finis leurs service. Les choses ont du ensuite dévié Bruuk a du leur raconter quelques histoires de bataillons, ce qui a du lui donner envie de boire. Des jeunes aillant envie de s'encanailler on du entrer dans sa Taverne tomber sous les charmes d'Edris. Jugeant les courtes barbes collant et sans intérêt cette dernière a du leurs dire que seul les vrais Nains supportaient le cocktail « Coup de Trique » mis au point par son père. Les jeunes voulant impressionner la belle l'ont commandé. En ignorant que ce cocktail consistait à ingurgiter dix verres d'un alcool très fort affublé d'un casque en plaque puis de se recevoir un coup de l'énorme massue de Bruuk. D'après Bruuk et ses amis c'est la meilleur façon de boire pour oublier. D'ailleurs lorsque l'on se réveillé on a même oublié qu'on voulait oublier.
Une soirée normal « Chez Bruuk » en somme.
Si Bruuk ne se réveil pas dans son auberge. C'est sans doute qu'en voyage à la recherche de nouveau ingrédient pour ses bières il a «gouté » à toute la carte de l'aubergiste afin de se « donner des idées » pour la prochaine saison.
4)- Pendant un débat agité au sujet de la faction adverse, on demande à votre personnage de prendre position. Que va-t-il dire ? Que pense-t-il ?
Les clients demandent souvent son avis à Bruuk. Sur tout et n'importe quoi. Plus souvent n'importe quoi que tout d'ailleurs. Si Bruuk a compris quelque chose de son métier de tavernier c'est que pour ne pas perdre de client il vaut mieux être de leurs avis. Si il y a débat par contre il vaut mieux exposer son avis en tentant de ne froisser personne tout en agitant lourdement sa masse afin de prévenir toute envie belliciste.
Mais si on lui demandait vraiment son avis Bruuk répondrait que quelque soit le temps qui passe un ennemi reste un ennemi. Que nombre de ses frères d'armes sont mort en combattant ces monstre et qu'il leurs en garde toujours rancune. Il rappellerait ensuite que son frère, Kurdrum, sert le clan Foudrepique dans la vallée d'Alterac et que donc la guerre n'est pas si loin.
Il finirait sur une note plus joyeuse en rappelant que les trolls brassent de la très bonne bière et que certains des ingrédients qu'il utilise pour brasser la sienne viennent de Kalimdor. Il les apprécie donc pour des raisons économiques mais les déteste pour des raisons personnelles. Les vielles habitudes ont la vie dures.
5)- Votre personnage doit partir pour un long voyage, à quoi pourrait ressembler son paquetage ?
Sans doute beaucoup d'or, afin d'acheter des ingrédients. Des plumes, de l'encre, du parchemin pour noter les recettes. Son baume pour ses articulations. Des échantillons de ses produits. Sa bonne vielle masse. Un peigne pour sa barbe. Et son air antipathique.
6)- Lors d'une expédition, votre personnage recroise un vieil ami...relevé en tant que membre du fléau. Comment réagit-il ?
Bruuk verserait une larme en se souvenant de son ami. Puis l'abattrait afin qu'il cesse de se déshonorer dans la mort. Il lui offrirait ensuite de vrais funérailles, avec bûcher chant de guerre et boissons à foison.
Courte biographie :
Depuis que sa barbe a poussé Bruuk ne rêve que d'ouvrir sa propre taverne. Malheureusement sans le sous il dût rejoindre l'armée de Forgefer afin de servir son roi et de gagner assez d'argent pour ouvrir sa taverne. Ses premières années de services furent plus ou moins sans histoire malgrés quelques incidents à la frontière avec les Sombrefer. Puis, vint les orcs et l'horreur déferla en Azeroth lors de la seconde guerre contre la Horde il fît montre d'un talent à encaisser les pires coups sans faillir ainsi qu' à échapper aux griffes de la mort survivant aux pires blessures. Voyant ses frères d'armes tomber l'un après l'autre alors que lui survivait lui donna pour un temps un complexe du survivant. Il se jettait dans la mélée appelant la mort de tout son coeur mais elle ne répondait pas à ses appels.
Mais Bientôt il fit la connaissance d'une naine du nom de Moïra Saphireye dont il tomba amoureux.
Elle devint sa raison de vivre et, grâce à son souvenir il pût échapper à la mort encore et encore. Ils eurent bientôt une fille, une raison de plus pour que Bruuk reste en vie et, un jour puisse ouvrir sa taverne.
Lors d'une escarmouche alors que Bruuk et son bataillon patrouillaient dans les Tarides ils furent attaqué et vaincu par une troupe d'Orcs. Laissé pour mort, Bruuk fut pourtant sauvé par rien d'autre qu'un Pandaren Maitre Brasseur qui le recueillit et le soigna. Le temps que Bruuk se remette de sa blessure à la jambe il en profita pour apprendre quelques rudiment de l'art de brasser la bière selon les Pandarens. Lorsque Bruuk pût à nouveau tenir sur ses jambes il entreprit le long voyage de retour vers sa famille et son pays. Malheureusement, le croyant mort Moïra était morte de chagrin laissant sa fille à la charge de son jeune oncle.
La mort prématurée de Moïra laissa Bruuk et sa fille, Edris, seul. Il décida de quitter l'armée afin d'élever sa fille. Et ouvrit la désormais légendaire taverne « Chez Bruuk ».
